Vendredi 18 avril 5 18 /04 /Avr 14:35

Quelques-uns d'entre-vous me demandent depuis longtemps de publier mes récits. Je sais pourtant que la plupart d'netre-vous préfèrent les photos. Mais bon, j'aime bien écrire et j'avais envie de vous faire partager ce récit n°3.

 

Je dois avouer que j'appréhende un peu ce rendez-vous. Je prends donc beaucoup de temps pour me préparer. La tenue d'abord que m’avait demandée Anne : jupe courte, chemisier ouvert sur un top fin blanc à col roulé bien moulant, sans soutien-gorge, string blanc. Le maquillage ensuite: je souligne légèrement mes sourcils, mets un rouge à lèvres discret. Je laisse mes cheveux librement tomber sur mes épaules. Je suis satisfaite du résultat, mon teint de brune me donne une allure bronzée que je trouve attirante. Car j'ai envie de séduire ! Rien qu'à l'idée de voir Anne tout à l'heure, à l’idée de rencontrer de nouveau Francisco, mes jambes deviennent toutes molles et je sens une grande chaleur m'envahir.

J'arrive un peu en avance. La maison d’Anne est située en dehors de Nice, dans un très joli parc ombragé. Les fleurs qui ornent les plates-bandes dégagent une odeur suave et entêtante. Un homme répond à mon coup de sonnette. C'est apparemment un domestique. Je reste éberluée devant tant de luxe. La maison est somptueuse. Un escalier nous mène dans la pièce où m'attend Anne. Elle me présente aux premiers invités déjà arrivés.

Elle me propose alors soit d’assister au spectacle ce soir soit d’y participer, mais sans plus de détails.

Je reste un court moment indécise. Que faire car je ne sais rien de ce spectacle ?

 - Ok, je participe.

J'ai pris ma décision sans l'ombre d'une hésitation.

- Parfait. Je suis contente que tu aies accepté. Buvons un verre pour fêter ça.

Les invités semblent très sympathiques et tout a l'air agréable, même si je ne sais pas encore dans quel engrenage je viens de fourrer le doigt.

Puis Anne appelle son majordome et m'embrasse légèrement sur les lèvres.

- Jean-Pierre, montrez à Mademoiselle les secrets de la maison, puis revenez me voir.

- A bientôt ma chérie, me dit-elle avec un petit signe de la main.

Je visite la vaste demeure derrière Jean-Pierre. Je m'aperçois qu'elle est pleine de recoins, de couloirs secrets et de miroirs sans tain. Toutes les pièces semblent espionnées. Toutes mes questions restent sans réponse, Jean-Pierre ne desserre les dents que dans le hall :

- Entrez là et regardez, me dit-il en me montrant une petite ouverture dans le mur qui se prolonge sous l'escalier.

Un petit couloir me conduit à une pièce meublée d'une bibliothèque et d'un canapé. Un superbe tableau représentant un port breton en pleine tempête complète la décoration. Sa signature : Francisco. Le sol est recouvert d'une épaisse moquette où les pieds s'enfoncent agréablement. Mais ce qui est surprenant, c'est la paroi de verre qui donne dans une autre pièce de la maison : je m'approche et peux à loisir épier ce qui se passe de l'autre côté de la glace. Assise à un somptueux bureau, Anne travaille. Elle pianote sur un clavier d'ordinateur et un tas de chiffres s'affichent sur l'écran devant elle. Elle tape très vite et paraît très concentrée sur sa tâche. Des haut-parleurs renvoient le bruit des touches et le ronron de la machine. Anne n'a pas l'air de me voir bien que je sois dans son champ de vision. J'en déduis que la paroi de verre est en fait un miroir sans tain et que la petite pièce où je me trouve est un salon pour voyeurs. Décidément, je ne suis pas au bout de mes surprises avec Anne ! Je reste immobile, me nourrissant de son image.

Soudain, Jean-Pierre entre dans mon champ de vision. Il apporte un plateau sur lequel se trouvent une bouteille de Whisky et deux verres.

- Madame désire-t-elle autre chose ?

- Oui, Jean-Pierre.

Anne se lève, contourne son bureau et se retrouve face au miroir, debout devant le majordome qui s'interroge.

- Madame ?

Alors Anne, sans aucune pudeur, remonte la jupe de son tailleur, pose un pied sur un petit tabouret que je n'avais pas remarqué et dit d'une voix rauque :

- Jean-Pierre, léchez-moi, s'il vous plaît.

Je reste abasourdie par tant de culot et de décontraction. J'éprouve un choc au creux de l'estomac et je sens une onde de chaleur m'inonder aussitôt le bas-ventre.

Obéissant, Jean-Pierre se met à genoux, descend le minuscule slip de sa patronne sur ses chevilles et libère les poils frisés de sa toison. Je distingue nettement la coupure rose de ses lèvres intimes et plus haut, le renflement de son clitoris. Puis il plonge la tête dans le sexe blond. Anne se cambre en arrière, avançant davantage son bassin à la rencontre de la langue de Jean-Pierre. Des gémissements s'échappent bientôt de sa bouche entrouverte.

Je sens mon propre slip s'humidifier tandis que ma respiration s'accélère devant ce tableau. Mes tétons durcis pointent à travers la maille du top hyper tendu. J’en rougis. Indépendamment de ma volonté, ma main droite descend vers mon entrejambe, écarte le mince tissu et plonge dans mon sexe en feu. Je me caresse lentement pour retarder le plus possible la montée du plaisir. J'aimerais que Jean-Pierre me lèche aussi, mais il ne peut pas, occupé qu'il est à faire jouir Anne, et séparé de moi par la cloison en verre.

Le tableau change rapidement : Anne s'écarte, relève Jean-Pierre et fébrilement, sort le sexe de son majordome. Elle le regarde fixement un court instant avant de l'engloutir entièrement au fond de sa gorge. Deux ou trois allers et retours puis elle le libère, vérifie sa rigidité et se retourne pour s'accouder sur sa table de travail. Elle prononce alors ces quelques mots, les yeux fixés sur le miroir, comme si elle me voyait :

- J'ai envie que tu m'encules.

Je manque de défaillir. Je suis inondée. Mes mains ne peuvent plus endiguer les flots de désir qui m'assaillent. Je vais devenir folle.

Soudain un bruit me fait sursauter. Je me retourne et découvre Fabrice, le mari d’Anne, sur le seuil de la porte. Tout se déroule très vite. Je ne suis là que depuis quelques minutes. Les yeux exorbités, il regarde sa femme se faire sodomiser par Jean-Pierre de l'autre côté de la vitre. Il a sorti un sexe impressionnant et se caresse à toute vitesse. Voilà ce qu'il me faut !

Je relève ma jupe sur mes reins, enlève mon string et écarte les jambes. Je pivote vers le miroir, m'appuie des deux mains dessus et attends. L'invitation est sans équivoque. Fabrice s'approche de moi. Je frissonne lorsque la tête de son membre glisse dans la raie de mes fesses et s'arrête à l'entrée de mon sexe. Devant moi, Anne subit les assauts de Jean-Pierre. Celui-ci la laboure sans relâche, les deux mains agrippées à ses hanches. Je vois son sexe qui sort avant de replonger entièrement dans l'étroit fourreau d’Anne.

Je n'y tiens plus : je m'empale littéralement sur ce gros sexe qui attend dans mon dos. Il m'emplit complètement, c'est divin. Je me cambre en arrière et ferme les yeux : je n'ai plus besoin d’Anne, peu m'importe qui me fait l'amour, je suis entièrement à l'écoute de mon corps. Je n'ai plus qu'une envie, jouir. Les deux mains de mon partenaire glissent sous mon top et emprisonnent mes seins qui s’offrent sans obstacle. Il en titille les pointes qui se mettent à durcir et à propager le long de mes terminaisons nerveuses des sensations qui m'affolent. Je me mets à aller et venir le long de la tige palpitante. Ma main vient d'elle-même retrouver mon petit bouton et se met à le branler au rythme de la pénétration. Lorsque Fabrice se met à haleter, je me retire complètement. Son sexe se retrouve en face de l'anneau resserré de mon anus. Moi aussi, j'ai envie d'être sodomisée. Pas la peine de lui faire un dessin, il a compris. Il appuie un peu, mais je suis dans un tel état qu'il se retrouve aussitôt enfoncé dans ma croupe jusqu'à la garde.

Les cris d’Anne s'accélèrent, j'y mêle maintenant les miens. Son mari m'a saisie par les hanches et je comprends qu'il ne va pas tenir longtemps tant l’excitation est grande. J'accélère les mouvements de mon doigt sur mon clitoris. J'adore me branler quand on m'encule. C'est divin. Lorsqu'il se répand en moi, je hurle tellement la jouissance est forte.

De l'autre côté du miroir, Anne se rhabille. Jean-Pierre a disparu. Fabrice me quitte et pénètre quelques instants plus tard dans le bureau où se trouve sa femme. Il sert deux verres de Whisky, en donne un à Anne et tous les deux se mettent à papoter comme si de rien n’était.

Je remets mon string et réajuste mon top. Jean-Pierre surgit dans mon dos et m'invite à le suivre. Il me raccompagne dans le grand salon de la maison, où je retrouve les autres invités. Tout cela s’est passé si vite que je mets du temps à retrouver mes esprits. Mais c’était bien réel, j’ai tellement jouis que j’en suis anéantie !

Je papote quelques instants avec des invités. J’aperçois au fond du salon le peintre Francisco. Je le rejoins. Il exerce vraiment sur moi un attrait auquel je ne peux résister. Anne, tout sourire, va de groupe en groupe puis nous quitte avec Francisco.

Je la vois revenir de temps en temps puis à chaque fois elle repart accompagnée d’une invitée. Je comprends qu’il s’agit de la préparation du spectacle car seules nous quittent celles qui ont donné leur accord ! Mon impatience est à son comble d’en savoir plus. Anne revient et cette fois-ci, c’est moi qu’elle vient chercher. Nous passons dans un petit salon où elle me demande d’ôter mon chemisier et mon string. Je n’ai plus que mon top et ma jupe. Je me retrouve seule, me tripotant la moule pour évacuer le trop-plein d’excitation. C’est alors que rentre Francisco. Il me soulève dans ses bras puissants et m’embrasse très fort. Je le serre contre moi et lui, très excité semble t-il également, me tripote les fesses. Quand il s’aperçoit que je n’ai pas de culotte, il se met à rire :

- Tu es encore plus salope qu’Anne me l’avait dit ! Et tu portes à merveille ce top bien moulant, tu sais donc si bien ce qui m’excite !

Anne m’avait joué un tour, mais là j’étais trop excitée pour répondre. Il m’allonge sur le canapé et me demande de me branler pendant qu’il se déshabille. J’obéis à celui qui est devenu mon maître. Ma chatte est toute trempée. Je le regarde se désaper en la tripotant. Sa poitrine est musclée et poilue, comme j’aime. Quand il enlève son slip tendu à craquer, un énorme braquemart en sort. Je pousse un « oh » de satisfaction.

- Approche et ouvre la bouche !

Sa bite est tellement grosse que seul le gland entre. Je le caresse en même temps et caresse ses bourses poilues.

- Suce bien salope, et surtout n’arrête pas : je vais tout décharger dans ta bouche. J’adore les vicieuses dans ton genre Et après t’auras une surprise !

Et je reçois tout, au plus profond de mon gosier. J’aspire son foutre jusqu’à la dernière goutte. Il semble très content.

Ensuite c’est mon tour. Il me broute le minou et je jouis une première fois. Ensuite il m’écarte bien les cuisses et présente sa matraque à ma chatte brûlante de désir. Il me pénètre lentement au début. Je me sens bien remplie par ce gros gourdin qui se met à me pistonner. Je me sens toute petite sous son grand corps. Les poils de sa poitrine me chatouillent le visage. Puis il se relève, me prend les seins à travers le top, ce qui l’excite encore plus. Il me pistonne alors plus rapide. Je sens le plaisir en moi, comme une vague irradiant tout mon corps. La jouissance est terrible, à l’image de notre chevauchée fantastique. C’est sublime. Il me pistonne à fond et je jouis deux fois encore puis il sort son braquemart avant que deux jets puissants de foutre ne viennent gicler sur mon top.

- Tu as mérité le même sort que les autres maintenant !

Que voulait-il dire ? A ce moment-là, il prend une paire de ciseaux et découpe deux cercles à l’endroit des seins dans mon top. Il rejouait là cette célèbre scène du film « Orange Mécanique », au début du film, scène où l’on voit Malcom découper le top moulant de l’actrice à l’endroit des deux seins.

Francisco s’éclipse et Anne vient me conduire à la salle de bains.

-Tu remets top et jupe maintenant et tu nous rejoins au fond de ce couloir.

C’était donc ça le spectacle dont m’avait parlé Anne. Je me retrouve dans ce salon au milieu d’autres nanas qui comme moi ont le top découpé. Le spectacle est étrange mais cela semble beaucoup exciter tous les autres invités qui sont là et qui s’attardent près de nous ...

Voir les 4 commentaires - Publié dans : récits (cols roulés,sexualité)
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